Stage national filles 7/8 ans : "Elever le niveau de formation"

Objectif

"Répondre à une commande de la Direction technique nationale qui, dans sa politique sportive, a fait de la filière féminine et notamment de la joueuse dans les jeunes catégories une priorité." C’est ainsi que Sophie Couret (responsable des 7/8 filles depuis le 1er septembre) évoque l’objectif de ce stage, en ajoutant : "Avec comme volonté de retrouver de la densité et élever le niveau de formation chez elles et ce dès les plus jeunes catégories." 
 

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Ce stage national a ainsi rassemblé 7 jeunes filles âgées de 8 ans, qui tout au long de l’année, ont montré des qualités intéressantes. "Auparavant, il y a eu deux rassemblements au mois de juin à l’occasion d’interrégions pour leur éviter de grands déplacements, précise Sophie Couret. A leur issue, nous avons convoqué ici à Poitiers les filles qui sortaient du lot à l’instant ‘’T’’."

Elle tient aussi à rappeler "qu’il y a eu un travail de fond, mené avec les collègues dans les territoires sur la formation de ces jeunes filles à l’occasion de rassemblements et des compétitions. J’ai vu ces filles 4 ou 5 fois, je sais où elles en étaient en septembre et j’ai pu voir leur évolution toute l’année. Je connais également très bien leur structure d’entraînement."

 
Esprit du stage

L’idée était de proposer un contenu "varié et ludique", en créant une atmosphère motivante qui s’appuie sur le groupe, sur l’émulation des filles et des entraîneurs tout en assurant de la rigueur sur les séquences d’entraînement.

"A côté de nos objectifs techniques, on se devait de créer un cadre bienveillant et sécurisant pour elles", confie Sophie Couret. Autrement dit, au-delà des sessions sur les terrains de tennis, il y avait la pratique d’autres activités physiques (piscine, vélo, course d’orientation…), des moments de partages conviviaux, des temps calmes entre filles…

 
Implication des coachs référents

Au CREPS de Poitiers, chaque fille était accompagnée de son entraîneur référent (il y avait au total 4 entraîneurs de clubs, 2 CTS et 1 CTR).

"Les coachs sont parties prenantes dans ce stage, confie Laurent de Pasquale, responsable à la DTN des U10. On est ensemble sur le terrain : on fait des constats et après on définit des priorités de travail grâce à la vidéo. C’est très bien vécu. Il ne faut pas l’oublier : ce sont les référents qui ont ces filles à l’année. Nous, à la DTN, nous ne sommes qu’un regard extérieur qui peut donner une orientation qui s’inscrit dans le plan de politique sportive de notre DTN."