Type
Coupe davis
Phase finale de la Coupe Davis 2021

France - République tchèque : jour J !

Focus sur la première rencontre des Bleus dans cette Coupe Davis 2021. Ils affrontent la République tchèque ce jeudi à 16h.
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On y est presque ! Dans quelques heures, les hommes de Sébastien Grosjean lanceront leur compétition face à la République tchèque qui s’est qualifiée pour cette phase finale en battant la Slovaquie 3-1 lors du premier tour en mars 2020.

Emmenés par Jiri Vesely (82e joueur mondial, 28 ans), les Tchèques aligneront une équipe relativement jeune puisque leur n°2 Jiri Lehecka (138e, 20 ans), sélectionné pour la première fois en 2019, n’a disputé que deux rencontres de Coupe Davis (0 victoire - 2 défaites) tandis que Zdenek Kolar (140e, 25 ans) a joué sa seule rencontre lors du premier tour qualificatif en 2020 (2e sélection (0 victoire-1 défaite).

Le capitaine tchèque, Jaroslav Navratil a aussi fait appel à Tomas Machac (143e, 21 ans) qui fera lui ses débuts cette année.

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L'importance de bien débuter

Favoris de cette rencontre, les Bleus mènent 9-7 dans leur face-à-face avec la République tchèque et gardent de bons souvenirs de leurs deux derniers affrontements puisqu'ils s'étaient imposés à Paris en demi-finale en 2014 puis à Trinec en quart de finale en 2016.

Mais ils se méfient tout de même de leurs premiers adversaires dans une compétition où chaque point, jeu ou set peut avoir une importance cruciale en vue de la qualification pour les quarts de finale.

"C’est une rencontre qu’il faudra très bien débuter, a insisté Sébastien Grosjean. Les Tchèques ont plusieurs joueurs assez jeunes, donc ils ont aussi un bel avenir. Il faudra être solides et forts mentalement. En l’absence de spectateurs, il va falloir trouver l’énergie à l’intérieur et auprès de toute l’équipe mais tous les gars sont hyper motivés."

 

 

"Après une semaine tous ensemble à se préparer, on a hâte de débuter les matchs, a confirmé Adrian Mannarino. Il faudra bien débuter mais avec le soutien de tous les coéquipiers et la bonne préparation qu'on a eue, je suis assez confiant."

 

 

Amandine Reymond, à Innsbruck

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